De nombreux particuliers se tournent désormais vers cette nouvelle forme d’investissement immobilier. Seuls les murs sont achetés. Les contraintes sont ainsi moins importantes.
L’investissement dans la pierre a toujours été très populaire. Mais la crise sanitaire et économique actuelle a pu faire développer une toute nouvelle forme d’investissement : La nue-propriété, le fait d’acheter que les murs en laissant l’usufruit.
En effet, le marché, qui augmente de 15% ne cesse de croître actuellement.
Le viager classique
C’est la méthode la plus populaire. Des séniors vendent la nue-propriété pour vivre chez eux jusqu’au décès tout en gardant des revenus mensuels.
L’investisseur achète les murs pour environ 20% de la valeur du bien et verse une rente aux occupants. Lorsque ces derniers décèdent, l’acheteur récupère la jouissance du bien.
Eric Guillaume, le fondateur de Viager mutualisé, estime qu’il y a toujours un gagnant et un perdant. En effet, si les occupants meurent rapidement, l’acheteur est gagnant puisqu’il a acquis un bien largement en dessous de sa valeur. Par contre, si les résidants vivent plus longtemps, l’investissement peut se révéler bien plus important.
Dans cette formule l’acheteur est lui aussi gagnant, le risque, en achetant un bien à 60% de sa valeur est quasiment nul. Il n’y a également pas de frais de gestion.
Le logement social neuf
Cette méthode est peu connue mais commence à se répandre. En effet, pour aider à financer et construire, les bailleurs sociaux vendent certains lots en nue propriété. L’acheteur peu acquérir le bien pour 60% de sa valeur. Le contrat signé l’engage à laisser l’usufruit au bailleur pendant quinze ou vingt ans. D’ici là, il n’a ni locataire ni frais de gestion à gérer.
L’investissement est quasiment sans risque. Il n’y a que très peu de chance qu’un logement neuf perde de sa valeur en une dizaine d’années.
Sources / Crédits : Article Le Parisien
CONTACTEZ-NOUS !
Laisser un commentaire
Participez-vous à la discussion?N'hésitez pas à contribuer!