Mulhouse et Saint-Étienne font partie du top 5 des villes étudiantes les plus rentables. Mais selon Masteos, spécialisée dans l’investissement locatif, celles qui présentent le meilleur rendement ne sont pas toujours les plus pertinentes pour un investissement locatif.

Voici les villes à haut potentiel, identifiées par ce spécialiste, qui affichent le meilleur équilibre entre rentabilité locative et tension locative

En région Aura : misez sur Clermont-Ferrand

En Auvergne Rhône-Alpes (Aura), investissez à Clermont-Ferrand. Grand centre universitaire et de recherche français et située à moins de 2h en voiture de Lyon, Clermont-Ferrand compte plus de 40 000 étudiants, soit près d’un quart de sa population municipale. La ville affiche un rendement brut moyen de 6,87%.

Saint-Étienne offre une rentabilité brute de 11,07%, pour autant la tension locative y plus est faible qu’à Clermont-Ferrand. Lyon présente une forte tension locative, mais la rentabilité locative est faible (3,85%).

La tension locative est moins élevée à Grenoble, cependant la ville offre une rentabilité locative plus haute (5,89%) en raison de prix immobiliers moins chers.

En Paca : misez sur Marseille

En région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), c’est à Marseille où il faut investir. Bien qu’elle n’atteigne pas les 6% de rendement, elle demeure une ville de choix, composée de plus de 90 000 étudiants. La colocation est un excellent moyen d’augmenter ses revenus locatifs, selon Masteos.

La rentabilité locative à Avignon dépasse les 6%, mais la tension locative y est moins forte.

Dans le Grand Est : misez sur Metz

À 55 min de Strasbourg en transports et 1h23 de Paris en TGV, Metz compte plus de 21 000 étudiants et affiche une excellente tension locative ainsi qu’un très bon taux de rendement brut (7,5%).

Même si la tension locative est très forte à Strasbourg, la rentabilité locative est presque divisée par deux (4,58%) par rapport à Metz.

En Bourgogne Franche-Comté : misez sur Besançon

À 49 minutes en transports de Dijon, capitale de la région, Besançon accueille 17,04% d’étudiants. Classée ville d’Art et d’Histoire, elle offre de meilleures perspectives de rendement qu’à Dijon (6,70% contre 5,98%) et une tension locative bien plus élevée.

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Une décision d’investissement locatif doit se faire après avoir estimé le futur rendement du bien immobilier.

Plusieurs éléments tels que les frais d’acquisition, les charges annuelles et la fiscalité sont à prendre en compte.

Le rendement locatif brut pour une estimation rapide

Pour bien déterminer le rendement d’un investissement locatif, l’indicateur le plus simple consiste à rapporter le loyer brut annuel hors charges au prix de revient du bien. Ainsi, vous obtenez le rendement locatif brut de ce dernier.

Le prix de revient du bien immobilier doit inclure son prix d’achat, les frais d’agence, les frais de notaire et les éventuels travaux. Le prix de revient équivaut au coût réel d’achat du logement locatif.

Le prix de revente influe sur la rentabilité finale de l’investissement locatif

Avec la hausse quasi-continue des prix de l’immobilier et la stagnation des loyers, les rendements locatifs tendent à décroître. En revanche, nombre d’investisseurs ont vu la valeur de leur bien progresser. Ainsi, en cas de revente, ils peuvent réaliser une plus-value. Pour calculer la rentabilité finale de leur investissement, cette plus-value doit bien être prise en compte.

Le rendement locatif net intègre les coûts liés au bien

Un investissement locatif a un coût pour son propriétaire. En effet, celui-ci doit chaque année payer des charges non récupérables auprès de son locataire, la taxe foncière et une assurance en tant que propriétaire non occupant. Peuvent également s’ajouter une assurance contre les loyers impayés et des frais de gestion si un professionnel s’occupe de la location. En général, ces coûts représentent environ 30 % des loyers.

Le véritable rendement locatif se mesure après impôts

Pour mesurer l’intérêt d’un investissement locatif, il faut mesurer l’impact de la fiscalité sur les revenus générés. Ainsi, les loyers perçus s’ajoutent aux autres revenus annuels après abattement de 30 % (régime du microfoncier si vos loyers sont inférieurs à 15.000 € par an) ou déduction des frais réels et éventuels intérêts d’emprunt (régime réel). En outre, ils sont soumis aux prélèvements sociaux.

Article rédigé par Boursorama Banque

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La construction de logements au deuxième trimestre en France s’est à peu près établie à son niveau d’avant la crise sanitaire, selon les dernières données du gouvernement.

Cependant, ce niveau reflète d’importantes disparités entre maisons, en pleine dynamique et immeubles plus au ralenti.

Selon le ministère de la Transition écologique, sur le trimestre écoulé, près de 95 500 logements ont commencé à être construits en France et 112 600 permis ont été délivrés pour de futurs logements. Des chiffres sans comparaison possible avec ceux publiés pour le deuxième trimestre 2020. À cette époque pas si lointaine, les chantiers, comme l’examen des permis, avaient largement été gelés.

Dans le détail, ce redressement de la construction dans l’hexagone démontre la dichotomie grandissante entre la construction de maisons avec plus de 50 000 nouvelles constructions autorisées, elles bondissent de près de 20% par rapport à l’avant-crise. De l’autre côté, les immeubles autorisés représentent un peu plus de 50 000 logements, mais, cette fois, c’est un déclin de plus de 10% constaté par rapport à 2019.

Article redigé par MoneyVox

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L’Insee a réalisé une étude aux résidences secondaires en France. En effet, quatre sur dix se trouvent au bord de la mer, 16 % en montagne et 12 % dans des grandes villes. Plus d’un tiers est situé à trois heures de route ou plus de la résidence principale de leur propriétaire.

Le littoral à la cote

Seul un quart fait moins de 40 m2 contre une sur dix pour les habitations principales. Les chercheurs se sont intéressés à la localisation de ces résidences secondaires. 40 % sont situées au bord de la mer, 16 % en montagne et 12 % « dans les intercommunalités les plus densément peuplées », précise l’étude.

Elles se trouvent aussi en général loin de la résidence principale de leurs propriétaires. 38 % des résidences secondaires appartenant à des personnes résidant en France se trouvent à au moins trois heures de route de leur logement habituel.

Prisées par les plus aisés et les plus de 60 ans

Les foyers aisés représentent 34 % des propriétaires d’une résidence secondaire. Les ménages âgés de plus de 60 ans sont également largement majoritaires au sein des détenteurs de ce type d’habitation. Ils en représentent en effet deux tiers, et même trois quarts en ne prenant en compte que les régions côtières.

« 348 000 ménages détenteurs d’une résidence secondaire habitent à titre principal dans la métropole du Grand Paris », a par ailleurs calculé l’Insee. Les huit Etablissements publics de coopération intercommunale (EPCI) suivants concentrant le plus de propriétaires d’une autre habitation sont tous des grandes agglomérations. Il s’agit, dans l’ordre décroissant, d’Aix-Marseille-Provence, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Lille, Nice et Rennes.

Articles rédigé par Boursorama banque

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Le vendredi 2 Juillet, le cabinet à pu organiser un concours de pétanque dans les locaux de carré pétanque Obut à Saint-Bonnet-le-Château. Les conviés ont donc pu profiter du cadre dans les montagnes pour prendre part à un apéritif

Les achats immobiliers ont battu des records en France.

1.130.000 transactions immobilières

Entre fin mai 2020 et fin mai 2021, 1.130.000 transactions immobilières ont été enregistrées par les notaires de France. À titre comparatif, en 2019, considérée comme une année dynamique, seules « quelques » 1.067.000 ventes avaient été comptabilisées. Selon les notaires, cette ruée vers l’immobilier s’explique partiellement par le report des ventes bloquées durant le premier confinement de 2020. Cependant, les notaires précisent que ces chiffres traduisent surtout un dynamisme exceptionnel du marché, boosté par une « nouvelle typologie de biens » dans des zones géographiques éloignées des grandes villes.

La ruée vers les « petites villes »

Les confinements successifs de 2020 ont littéralement fait exploser l’attractivité des petites ou moyennes villes situées en périphéries des grandes métropoles. Avec le développement du télétravail, les acheteurs Franciliens se sont dirigés vers des biens immobiliers situés dans des départements limitrophes à leur région professionnelle, ciblant notamment de petites maisons dotées ou à proximité d’un espace vert. Selon la première édition du baromètre de l’emploi de LinkedIn, publiée en juillet, Paris est la ville qui enregistre le plus de départs depuis la pandémie (-17,6% sur le ratio arrivées/départs), suivie par Toulouse (-16%) et Strasbourg (-8,7%). L’exode massif des Parisiens s’explique en partie par le fait que près de 60 % des Franciliens ont la possibilité de télétravailler sur une base régulière, contre seulement 1/3 des travailleurs dans le reste de la France.

La mobilité interne se poursuit

Si les déménagements des Français ont connu un pic en septembre 2020 (+126% par rapport à la moyenne avant la pandémie), la migration interne continue sur l’année 2021. Toujours selon LinkedIn, le taux de départs entre janvier et mai 2021 surpasse celui de l’année 2019 (+38 %) sur la même période. Selon Sandrine Chauvin, directrice de la rédaction de LinkedIn France, la dynamique de mobilité interne se poursuit, donc, et « rien n’indique qu’elle va s’arrêter ».

Article rédigé par Boursorama Banque