Stéphane Desquartiers, président de La maison de l’investisseur, vous présente, en vidéo de nombreuses raisons de rester positif et d’espérer pour l’après COVID-19.

Inflation, chômage, retraite et emploi, plusieurs thèmes sont abordés par notre expert pour évoquer le futur du marché de l’immobilier.

La crise sanitaire mondiale actuelle paralyse l’économie d’un grand nombre de pays. Dans ce contexte incertain, sécuriser ses avoirs est devenu primordial pour un grand nombre d’épargnants. Pour les particuliers à la recherche d’un placement financier stable et rentable, l’investissement locatif représente plus que jamais une solution d’épargne idéale. 

Investir dans la pierre : une valeur refuge pendant la crise sanitaire

Placement préféré des Français, la pierre est réputée pour constituer une valeur refuge très fiable en période d’instabilité économique. 

Malgré la chute des marchés financiers provoquée par la pandémie de coronavirus, l’immobilier locatif continue d’assurer une sécurité financière pérenne. 

En effet, quel que soit le contexte, vous aurez toujours l’assurance de louer votre bien, à condition d’investir dans une ville et un quartier attractifs et dynamiques. Une forte demande locative est ainsi garantie sur le long terme dans des villes telles que Lyon, Paris, Bordeaux, Marseille, Lille ou Toulouse, où le marché immobilier est en tension. 

Par ailleurs, les biens immobiliers dans de telles villes ne perdront pas de leur valeur au fil du temps, et ce quel que soit le contexte. Ainsi, même si le marché de l’immobilier n’est jamais totalement à l’abri d’une crise économique, votre patrimoine sera protégé, et vous continuerez à percevoir des revenus locatifs réguliers et stables.

Sécuriser son investissement locatif en toutes circonstances 

Toutefois, dans ces circonstances exceptionnelles, il est indispensable de sécuriser son investissement immobilier. Le plus judicieux est alors de se faire accompagner par un professionnel, qui pourra vous conseiller efficacement dans le choix de l’emplacement, du type de bien, et assurer une mise en location rapide et stable.

Crédits : Investissement locatif

A quelques semaines de la déclaration, il est possible de réaliser un don à un organisme d’intérêt général, qui permet une réduction d’impôt égale à 75% des sommes versées dans la limite de 50.000 euros. Mais à plus long terme, d’autres stratégies sont applicables.

Par exemple, pour rester investi dans l’immobilier tout en réduisant le poids de l’IFI, il est possible d’investir dans des bois, forêts ou parts de groupements forestiers ; des parts de groupement foncier agricole ou viticole ; des biens ruraux donnés à bail à long terme, c’est-à-dire pour 18 ans minimum. 

Deux autres cas sont également envisageables : les immeubles ayant fait l’objet d’une donation temporaire d’usufruit ainsi que les immeubles ou parts de SCPI acquis en nue-propriété, ou les immeubles en location meublée, si cette activité est exercée à titre principal et rapporte plus de 23.000 euros par an.

Source : Les echos

Dans le budget rectificatif, présenté aujourd’hui au conseil des ministres figurent plusieurs mesures qui doivent permettre à davantage d’entreprises de bénéficier d’un accompagnement financier pour surmonter les conséquences économiques de la crise sanitaire.

Prévu à 45 milliards d’euros, le budget destiné à soutenir les entreprises économiquement affectées par les conséquences du Covid-19 atteindra finalement 110 milliards d’euros, a précisé le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, interrogé sur RTL le 15 avril. Un élargissement des aides doit notamment être présenté aujourd’hui en conseil des ministres.

Ces nouvelles mesures devraient permettre à davantage de petites entreprises, notamment agricoles, de bénéficier de l’aide de 1 500 euros en cas de forte baisse d’activité, car ce sera désormais la moyenne du chiffre d’affaires sur les 12 derniers mois qui sera prise en compte dans le calcul, et non la différence entre les mois de mars 2019 et mars 2020 (la baisse de chiffre d’affaire devant être de 50 % ou plus pour que l’entreprise soit éligible à l’aide). « Cela permettra d’inclure plus d’entreprises et ça sera plus juste », a commenté Bruno Le Maire sur RMC, le 14 avril. A ce jour, 900 000 entreprises ont demandé à en bénéficier.

Par ailleurs, le deuxième niveau d’aide, celui des Régions, n’est plus limité à 2 000 euros par entreprise mais à 5 000 euros. Pour y avoir droit, les petites entreprises (employant au moins un salarié) menacées de faillites doivent se rendre sur les plateformes ouvertes aujourd’hui par leur Région.

Au total, le montant du fonds de solidarité passe désormais de 1 milliard d’euros à 7 milliards d’euros en comptant l’aide des régions, ainsi que celle des assureurs qui vont abonder à hauteur de 400 millions d’euros.

Le montant des aides destinées à indemniser le chômage partiel va lui aussi être augmenté. Par ailleurs, un nouveau dispositif va être mis en place : pour les PME fragiles qui ne trouvent pas de financements et ont besoin de trésorerie pour redémarrer, des avances remboursables seront possibles (pour un montant de 500 millions d’euros), a également indiqué le ministre de l’économie.

Enfin, 150 000 entreprises devraient pouvoir bénéficier d’un prêt bancaire garanti par l’État, pour un montant qui représente 22 milliards d’euros au total.

Crédits : Terre-Net

Retrouvez, en vidéo le passage de Stéphane Desquartiers, Directeur général de la maison de l’investisseur à BFMTV.

Cliquez sur l’image pour découvrir ses réponses en vidéo.

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