Le vendredi 2 Juillet, le cabinet à pu organiser un concours de pétanque dans les locaux de carré pétanque Obut à Saint-Bonnet-le-Château.

Les conviés ont donc pu profiter du cadre dans les montagnes pour prendre part à un apéritif dinatoire mais aussi participer à un concours de pétanque.

Maxime Pinay et le cabinet CIFIL tiennent à remercier l’établissement Carré pétanque pour leur accueil ainsi que tous les invités pour leur présence. Ce fut l’occasion de partager de bons moments dans une ambiance conviviale et chaleureuse.

Retrouvez quelques photos de cette soirée :

Le compromis de vente, comme la promesse de vente, est un avant-contrat précédant la signature de l’acte de vente d’un bien immobilier.

Le compromis de vente: un préalable à l’achat/vente d’un bien immobilier

On parle de compromis de vente dans le cadre d’une vente/d’un achat immobilier. Ainsi, le compromis de vente prend la forme d’un contrat, signé entre l’acheteur et le vendeur d’un bien immobilier, le plus souvent devant notaire.

Comme l’indique le code civil: «le compromis de vente vaut vente dès lors qu’il y a accord sur la chose et sur le prix». Ainsi, le vendeur s’engage à vendre le bien aux conditions indiquées. De son côté, l’acquéreur s’engage également à acheter le bien, aux mêmes conditions. La signature du compris de vente précède celle de l’acte authentique de vente, devant notaire.

A quoi sert ce compromis de vente?

Le compromis de vente constitue un engagement tant pour l’acheteur que pour le vendeur. Il s’agit d’une sécurité pour les deux parties puisque chacune s’engage vis-à-vis de l’autre. Bien plus qu’un simple accord de principe, le compromis est un véritable contrat. Il ne s’agit donc pas de le prendre à la légère.

La signature d’un compromis de vente accorde un délai à l’acheteur. Celui-ci peut lui être utile pour:

  • Obtenir un prêt immobilier
  • Mobiliser des sommes placées sur certains produits d’épargne spécifiques comme un Plan d’Epargne Entreprise (PEE), un Plan d’Epargne pour la Retraite Collectif (PERCO) ou un Plan d’Epargne Retraite Populaire (PERP) pour l’achat d’une résidence principale.
  • Vérifier l’existence d’éventuelles servitudes (droit de passage…).

Que contient un compromis de vente ?

Le compromis de vente doit comporter les éléments suivants:

  • Nom et prénom de l’acheteur et du vendeur, signature des deux parties.
  • Adresse et description détaillée du bien immobilier.
  • Origine du bien (identification de l’ancien propriétaire et mention du précédent acte de vente, le cas échéant).
  • Délai d’option (la date d’expiration de la promesse de vente. A cette échéance, au maximum, l’acquéreur doit annoncer s’il achète réellement le bien ou non).
  • Prix du bien.
  • Modalités de paiement.
  • Dossier de diagnostics techniques et environnementaux.
  • Honoraires de l’agent immobilier, le cas échéant, et identification du payeur de ces honoraires.
  • Mention du délai de rétractation de 10 jours (ne concerne que l’acheteur).
  • Conditions suspensives permettant d’annuler la promesse de vente (refus de prêt immobilier, apparition de servitudes, exercice d’un droit de préemption).

La signature du compromis de vente précède celle de l’acte de vente définitif d’un bien immobilier. Le délai obtenu permet à l’acheteur de régler certains détails, comme celui du financement. Le vendeur et l’acheteur s’engagent à vendre/acheter le bien aux conditions retenues. Si l’un ou l’autre fait défaut, il peut être contraint à acheter/vendre le bien, par décision de justice.

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CIFIL organise ce vendredi soir un moment convivial au carré pétanque Obut à Saint-Bonnet-Le-Château. Le concours en doublette débutera ce soir à 18h.

Les inscriptions se feront sur place.

Venez partager un moment convivial dans nos montagnes.

Carré pétanque Obut

5 Route du Cros

42380 Saint-Bonnet-Le-Château

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Les donateurs peuvent profiter d’importantes exonérations et abattements sur le patrimoine donné. Comment Léviter de passer par la case impôts?

Montant donné, âge, lien de parenté… les critères qui déterminent si une transmission est soumise ou non à la fiscalité sont nombreux. Mais bien les connaître permet d’utiliser judicieusement les dispositifs en place.

En France, les exonérations et les abattements pour les dons effectués de son vivant sont très intéressants.

Quels sont les dons à déclarer aux impôts ?

Vous avez donné une petite somme d’argent à votre fils ou à votre petit-fils pour son anniversaire ? Rassurez-vous : tous les dons d’argent ou de biens ne doivent pas nécessairement être déclarés auprès de l’administration fiscale. Ces présents d’usage se définissent comme le don ponctuel d’une somme raisonnable à l’occasion d’un événement particulier. En plus d’un anniversaire, il peut donc s’agir également des étrennes de Noël, d’un mariage, d’une naissance, etc. Tous les liens de parenté sont admis (enfant, petit-enfant, neveu, nièce…).

Légalement, il n’existe pas de plafond maximum pour qu’un don soit considéré comme un présent d’usage. La somme doit être appréciée par rapport au patrimoine et aux revenus du donateur. La jurisprudence permet toutefois d’en avoir une estimation : entre 1 et 2 % du patrimoine et/ou des revenus du donateur. Lorsqu’un don ne respecte pas l’une ou l’autre de ces conditions, il est nécessaire de le déclarer au centre des finances publiques, ce qui n’est pas systématiquement synonyme de taxation !

Exonérations et abattements en vigueur pour transmettre sans fiscalité

En déclarant leurs dons au fisc, les ménages craignent souvent de devoir payer des impôts supplémentaires. Pourtant, toutes les transmissions ne sont pas fiscalisées, bien au contraire. Premier mécanisme en jeu : l’exonération pour dons familiaux. Jusqu’à 31 865 euros peuvent être donnés à chaque enfant, petit-enfant ou arrière petit-enfant tous les 15 ans sans avoir à payer d’impôt. Le donataire doit être âgé de moins de 80 ans au moment de la transmission.

Second mécanisme : les abattements sur les droits de donation. Ici, le lien de parenté détermine le montant qui peut être donné sans fiscalité, somme qui se renouvelle également tous les 15 ans. Pour un époux ou un partenaire de Pacs, ce sont 80 724 euros qui peuvent être transmis sans impôts, 100 000 euros pour un enfant, 31 865 euros pour un petit-enfant, 5 310 euros pour un arrière-petit-enfant, 15 932 euros à un frère ou une sœur et 7 976 euros à un neveu ou une nièce.

Exemples

Les exonérations et les abattements présentés plus haut se cumulent. Concrètement, si Madame X décide de transmettre une partie de son patrimoine à sa fille, elle peut lui donner jusqu’à 131 865 euros (31 865 euros pour exonération pour dons familiaux, à condition d’être âgée de moins de 80 ans, et 100 000 euros grâce aux abattements sur les droits de donation) sans fiscalité tous les 15 ans.

Si Madame X décidait de transmettre un patrimoine financier ou immobilier plus important, elle devrait s’acquitter des droits de donation sur la partie supérieure à 131 865 euros. En léguant un appartement d’une valeur de 200 000 euros, ce sont 68 135 euros qui seront soumis au barème suivant :

o Jusqu’à 8 072 euros : 5 %, soit 404 euros ;

o Entre 8 073 et 12 109 euros : 10 %, soit 404 euros ;

o Entre 12 110 et 15 932 euros : 15 %, soit 573 euros ;

o Entre 15 933 et 552 324 euros : 20 %, soit 10 441 euros.

Par défaut, la fille de Madame X devrait donc s’acquitter de 11 822 euros de droits de donation. Sur option, il est également possible de choisir que ce soit le donataire qui règle les droits de donation.

Sources / Crédits : Article rédigé par Moneyvox

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Le Crédit Suisse a effectué une étude sur le patrimoine des ménages. Il en ressort que ce dernier a connu une progression moyenne de 7,4% en 2020 à l’échelle mondiale malgré la crise sanitaire.

C’est donc avant tout la bonne tenue de l’immobilier et la puissante reprise des marchés financiers avant l’été 2020 qui soutiennent cette progression.

La pandémie vécue l’année passée était pourtant le plus grand choc sur l’économie enregistrée depuis la Grande dépression des années 30. Au final, le patrimoine total des ménages des ménages au niveau mondial a progressé de 28.700 milliards de dollars pour se valoriser désormais à 418.300 milliards de dollars. Rapporté à une individualité, le patrimoine par s’est accru de 6% pour atteindre un niveau record de 79.952 dollars.

Cependant, de fortes disparités sont observées aussi bien au niveau géographique qu’au niveau des richesses. Ainsi pour les ménages les moins fortunés, la richesse a eu tendance à stagner voire dans de nombreux cas, à régresser. De même, dans les pays où les mesures de soutien à l’économie ont été faibles, les groupes vulnérables, tels que les femmes, les minorités et les jeunes, ont été particulièrement affectés.

Crédits / Articles : Capital

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Vous avez pu faire votre déclaration. Ainsi, il vous reste à attendre les avis, payer ou vous faire rembourser, voire à corriger, si besoin. Cifil reprend quelques dates clés à ne pas manquer.

Le 30 Juin

En cas d’erreur ou d’omission sur votre déclaration, mieux vaut prévenir que guérir. Plus vous réagissez rapidement, moins les pénalités de retard seront importantes.

Dans votre espace personnel sur impots.gouv.fr, vous pouvez encore cliquer sur « Accéder à la déclaration en ligne » puis sur « Corriger » jusqu’à la fin du mois de juin. A savoir : la Direction générale des finances publiques (DGFiP) effectuera une « taxation corrective ». Attendez-vous alors à recevoir un second avis d’imposition, rectifié, après le premier.

26 Juillet

Lundi 26 juillet, c’est le début de la mise à disposition des avis d’imposition 2021 justement pour ceux qui vont toucher un remboursement ou qui n’ont rien à payer. La mise à disposition sur impots.gouv.fr s’échelonnera ensuite jusqu’au 6 août, y compris pour ceux qui doivent régler un solde d’impôt. Si vous avez choisi de conserver l’avis papier, en revanche, l’envoi sera plus progressif, l’échéancier allant jusqu’au mardi 7 septembre.

4 Août

Le formulaire de déclaration en ligne « initial » ferme le 30 juin, comme indiqué plus haut. La DGFiP rouvre ensuite, suite à la distribution des avis, une rubrique dédiée à la correction sur votre espace particulier sur impots.gouv.fr. La réception de l’avis d’imposition permet en effet de mettre l’accent sur d’éventuels erreurs ou omissions. L’outil de correction, « Corriger ma déclaration en ligne », sera disponible du mercredi 4 août jusqu’à la mi-décembre, comme l’a confirmé la DGFiP à MoneyVox.

En cas d’erreur, l’administration fiscale est plus clémente avec ceux qui corrigent spontanément. S’il s’agit de revenus oubliés, vous risquez des intérêts de retard (0,20% par mois), lesquels sont réduits de moitié si vous corrigez avant que la DGFiP ne s’aperçoive elle-même de l’erreur.

15 Septembre

Le mercredi 15 septembre est l’échéance officielle pour régulariser le « montant restant à payer » de l’impôt sur le revenu, ou encore pour régler l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) pour les contribuables concernés. Dans les faits, dans le cadre du prélèvement à la source, le paiement du solde à régler est « impérativement » effectué « par prélèvement ». L’échéance du 15 septembre (ou du 20 septembre pour un paiement en ligne) ne concerne donc que ceux qui ont refusé de communiquer leur RIB au fisc.

Crédits / Sources : Articles rédigé par : Moneyvox






Il y a, pour les parents, plusieurs façons de transmettre un ou des biens immobiliers à leurs enfants.

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La donation

La donation permet aux parents de donner un bien de leur vivant. Chaque parent peut transmettre, tous les 15 ans, à chacun de ses enfants jusqu’à 100.000 euros sans droit de succession. Ainsi, les deux parents peuvent donner jusqu’à 200.000 euros à chaque enfant sans droit de donation. Au-delà de ce plafond, le barème des droits de succession s’applique. L’opération est renouvelable tous les 15 ans.

La donation-partage

Si les parents ont plusieurs de enfants, il est possible d’opter pour une donation-partage. Contrairement à la donation simple, avec la donation-partage, la valeur des biens est figée au jour de la donation. Il n’y a donc pas de surprise après le décès. C’est donc pourquoi la donation-partage est recommandée en présence de plusieurs enfants car, en prévenant les litiges, elle permet de préserver l’entente familiale. Les parents peuvent par exemple donner à un enfant un bien immobilier et à un autre une somme d’argent équivalente. Cela permet d’éviter l’indivision.

La donation de la nue-propriété

Les parents qui souhaitent continuer à utiliser le bien immobilier, peuvent opter pour la donation de la nue-propriété à leurs enfants et conserver ainsi l’usufruit du bien. Ils gardent ainsi la possibilité d’habiter ou louer le bien et d’en percevoir les éventuels revenus locatifs. Les droits de donation ne portent que sur la valeur de la nue-propriété des biens. Celle-ci est déterminée par un barème qui varie en fonction de l’âge du donateur. Par exemple, si le donateur est âgé entre 71 ans et 80 ans au moment de la donation, la valeur de la nue-propriété est égale à 70 % de la valeur en pleine propriété. Les droits de donation ne portent donc que sur 70 % de la valeur du bien en pleine propriété. Au décès des parents, les enfants récupèrent la pleine propriété des biens sans acquitter de droits de succession supplémentaires.

La SCI (société civile immobilière)

La SCI permet de mettre en commun la gestion d’un ou plusieurs biens immobiliers. Les parents apportent les biens immobiliers dans la société. Le capital est alors divisé en parts de SCI que les parents peuvent transmettre progressivement à leurs enfants, associés dans la SCI.

La transmission d’un bien immobilier au décès

Un bien immobilier peut également être transmis au décès. Pour le calcul des droits de succession, chaque enfant bénéficie d’un abattement de 100.000 euros sur la masse successorale. Au-delà de ce plafond, le barème des droits de succession s’applique. Il est possible de prévoir les modalités de la transmission du bien par un testament.

Crédits / Sources : Article rédigés par Boursorama Banque

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Les précédents records enregistrés en 2019 et même 2016 sont oubliés. Confirmant les informations des courtiers en crédit et de l’observatoire Crédit Logement-CSA, la Banque de France vient d’annoncer dans sa publication mensuelle de nouveaux « records historiques ».

Sur la dernière décennie écoulée, le taux moyen, toutes durées confondues, sera tombé de plus de 4 % à 1,50 %. En décembre 2019, la Banque de France annonçait même des niveaux à 1,17% en moyenne. Désormais la nouvelle référence historique inscrite en avril 2021 sera 1,15%. Ce chiffre pourrait possiblement évoluer encore quelque peu à la baisse puisque l’institution livre ses chiffres avec un décalage de quelques mois, le temps de collecter les informations des différents réseaux bancaires.

Même si les banques peuvent parfois durcir, compte tenu du contexte économique et sanitaire, les conditions d’obtentions d’un prêt, il ne fait pas de doute que le temps de renégocier son prêt est également venu pour bon nombre d’emprunteurs. Selon la Banque de France, la part des renégociations augmente depuis l’automne 2020 et représente désormais 17,1% des crédits accordés en avril.

Crédits / sources : article rédigé par : Moneybox

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Les précédents records enregistrés en 2019 et même 2016 sont oubliés. Confirmant les informations des courtiers en crédit et de l’observatoire Crédit Logement-CSA, la Banque de France vient d’annoncer dans sa publication mensuelle de nouveaux « records historiques ».

Sur la dernière décennie écoulée, le taux moyen, toutes durées confondues, sera tombé de plus de 4 % à 1,50 %. En décembre 2019, la Banque de France annonçait même des niveaux à 1,17% en moyenne. Désormais la nouvelle référence historique inscrite en avril 2021 sera 1,15%. Ce chiffre pourrait possiblement évoluer encore quelque peu à la baisse puisque l’institution livre ses chiffres avec un décalage de quelques mois, le temps de collecter les informations des différents réseaux bancaires.

Même si les banques peuvent parfois durcir, compte tenu du contexte économique et sanitaire, les conditions d’obtentions d’un prêt, il ne fait pas de doute que le temps de renégocier son prêt est également venu pour bon nombre d’emprunteurs. Selon la Banque de France, la part des renégociations augmente depuis l’automne 2020 et représente désormais 17,1% des crédits accordés en avril.

Crédits / Sources : Articles rédigé pas : MoneyVox

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